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Geoffrey Kursner

Né à Genève, Geoffroy Kursner est juriste. Passionné d’histoire et de littérature en tous genres, il a consacré des ouvrages à l’île de Sercq (le dernier état féodal d’Europe), à l’écrivain Pierre Boileau, ainsi qu’à Hergé, le père de Tintin.

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Thierry Amstutz

Thierry Amstutz, écrivain et maître horloger, est l’auteur entre autres, de La Pendule du souvenir (2012) et de La Montre disparue (2016) parus chez Slatkine. Il préside la société des écrivains des cantons de Neuchâtel et du Jura.

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Martin Beniston

Né de mère française et de père anglais, Martin Beniston a reçu son passeport suisse en 1992. Chercheur dans les domaines de l’atmosphère et du climat sur plusieurs continents, il s’installe en Suisse en 1985. Il a été l’un des vice-présidents du GIEC (le panel d’experts de l’ONU sur le climat, Prix Nobel de la paix 2007) avant de devenir professeur et directeur d’instituts, d’abord à l’Université de Fribourg, puis à l’Université de Genève, où il termine sa carrière académique en 2017. Outre ses nombreuses publications scientifiques, il publie en 2020 un guide sur la Suisse en transports publics et en 2022 un beau livre sur les liens entre climats et paysages.
De jasmin, de mer et de sang est son premier roman.
Martin Beniston : martin.beniston@unige.ch

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Vincent Philippe

Originaire de Delémont, né en 1940. Scolarité à Delémont, Porrentruy et Saint-Maurice (VS). Maturité classique en 1959. Études de lettres à Paris puis Genève de 1959 à 1963. Licence en lettres classiques. Séjour linguistique à Londres en 1964. A partir de 1964, journaliste au sein du groupe Edipresse (plus tard Tamedia) de Lausanne: Feuille d’Avis de Lausanne, devenue 24 Heures, jusqu’en 1975, Tribune Le Matin jusqu’en 1981, retour à 24 Heures en 1981 en tant que correspondant à Paris (y compris pour la Tribune de Genève de 1992 à 2000) jusqu’à la retraite en 2005. Chroniqueur au Quotidien jurassien de 2007 à 2009. Collaborateur régulier du Jura Libre. Déjà auteur de huit livres. Vit à Paris.

Bleus détroits

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Corinne Wirth

Corinne Wirth est née en 1969. Son existence l’a bercée entre les Vallées et les contreforts du Littoral. De tout temps, elle se souvient d’avoir écrit avec empressement, en témoignent une multitude de carnets dispersés bien au-delà de la maison familiale. L’écriture lui permet de prendre soin de la vie, à l’image de son engagement professionnel à l’Hôpital où elle diffuse son expertise. Pour enluminer l’ordinaire et lui donner de l’épaisseur, elle accommode les mots, sans relâche. Ainsi, toute la profondeur des liens humains se brode entre les lignes de son premier roman « Le Lac ».

Le Lac

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Jean-Claude Zumwald

Jean-Claude Zumwald est né à Neuchâtel en 1952.

Il écrit des polars et des nouvelles ; justement, aime bien insérer dans ses romans des petites nouvelles, greffes qui distraient … ou égarent.
Vous ne trouverez pas dans ses récits, trois pages de description complaisante du déroulement d’un viol. Pas de meurtres en série non plus. La moyenne par ouvrage des trépassés est comprise entre un et zéro. Si vous ignorez comment un abdomen éventré se vide de ses viscères, vous n’en saurez pas plus après la lecture d’une enquête de Victor Aubois. On est dans le polar soft.
Victor Aubois c’est donc l’enquêteur de Jean-Claude Zumwald, un privé, anti-héros du polar, venu à l’investigation policière par hasard, son métier, c’est l’épicerie gastronomique. Il ne porte pas d’arme ne connaît rien aux arts martiaux. Il déteste sa propre publicité et malmener un suspect, cela autant par faiblesse que par éthique personnelle. A ce jour, il a conduit onze enquêtes, autant de titres parus aux Editions Mon Village. La douzième suivra en principe en 2024 ou 2025. Quelques vices et vertus d’Aubois: la bouffe → pas mal ; l’alcool → un peu trop ; les femmes → un peu, surtout si elles sont fortes (de corps et d’esprit); le catholicisme → plus qu’un peu ; la dérision → bien assez ; des névroses → excessivement ; la social-démocratie → ce qu’il faut pour être politiquement correct ; le Gewürztraminer alsacien → passionnément.
Vous ne saurez pas tout mais un brin davantage en apprenant encore que l’auteur a besoin de mettre vingt ou trente ans entre l’écriture et le déroulement des enquêtes qu’il imagine. Elles se passent par conséquent toutes dans les années nonante et obligent souvent Victor Aubois à rechercher des faits plus anciens encore – avec une préférence pour le deuxième tiers du 20ème siècle. J.-C. Zumwald aime l’histoire grande et petite, internationale et locale ; cela transparaît dans ses récits. Il n’a pas de comptes à régler lui semble-t-il avec son passé, son éducation et les milieux sociaux, ecclésiaux et professionnels qu’il côtoie ou a côtoyé ; mais il les brocarde, les décrit ou les flatte volontiers au fil de ses chapitres. Tout cela bien sûr avec tendresse.
L’auteur enfin ne prend pas pour insulte si on le qualifie de romancier de terroir. Il a la manie en effet d’insérer ses personnages dans des milieux qu’il connaît. Cela évidemment (et il « fait bien » de le dire …) en abordant des thématiques universelles qui touchent aux passions et émotions humaines. Pas étonnant dès lors que Victor Aubois enquête la majorité du temps dans un quadrilatère qui a pour sommet Delémont, Berne, Genève et Fribourg, avec un centre de gravité neuchâtelois et franc-montagnard. Les occasionnelles escapades étrangères se situent dans des régions que Jean-Claude Zumwald apprécie.

Le polar au fond c’est un levier pour parler du quotidien, de ses grandeurs et compromissions.

Onze titres ont déjà été publiés aux éditions Mon Village, qui tous racontent une enquête de Victor Aubois. Tous les livres sont au format poche (120/170 mm), comportant 192 pages (sauf le recueil de nouvelles) et sont illustrés par une aquarelle de Béatrice Zumwald qui représente un véhicule présent dans le roman.
La photo de classe
EXIT le salaud
Les deux squelettes
La suicidée des Trois-Pigeons
Un passé banalisé
Un crime ou deux à Mont-Solitude
L’honneur consumé de Raphaëlla V.
Un aumônier au Golf Country Club
Jours et contre-jours de Victor Aubois
Les crédences d’Emmaüs
La morte du collège des Parcs

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Carole Besson

Carole Besson est née en 1981. Tout d’abord infirmière, puis responsable de projet dans une clinique, elle a développé de multiples expériences dans les domaines de la gestion des risques et de la prévention et contrôle de l’infection dans les hôpitaux. Mère de trois enfants et toujours avide de nouveaux savoirs, elle a repris les études en 2017 pour découvrir le monde du management et de l’économie.
Son Bachelor en poche, elle accompagne des ONG avec les nombreuses cordes à son arc et enseigne la comptabilité aux apprentis.
Lectrice invétérée, lorsqu’elle découvre l’incroyable destin des Brigands du Jorat, elle décide de sauter le pas en s’essayant à l’écriture. Son premier roman, « De Feuilles et de Sang, le Crépuscule des Brigands » est édité en 2023.

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Jenny Sigot-Müller

Jenny Sigot Müller grandit près de Saumur. Très tôt, elle se passionne pour la littérature française, mais aussi pour les langues anglaise, allemande et russe. Après des études en hypokhâgne et en khâgne à Nantes, elle obtient à Genève son diplôme de traductrice à l’École de Traduction et d’Interprétation, puis à Zurich, celui d’interprète de conférence.
Depuis 2005, elle est domiciliée à Zurich et traductrice à l’EPFZ/WSL. Lors de congrès, elle prête sa voix à des orateurs de différents horizons et se glisse dans le rôle de sa vie, celui d’interprète de conférence.

Nous avons le regret et le chagrin de vous informer que Jenny Sigot-Müller est décédée le 1er janvier 2023 à l’âge de 46 ans.

Entre deux voix, octobre 2012
Acrobate de l’instant, septembre 2021

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Jean-Claude Piguet

Originaire de la vallée de Joux, Jean-Claude Piguet s’établit à Sainte-Croix en 1974 pour enseigner au Collège secondaire. En 1988 il participe à la création du Journal de Sainte-Croix et Environs dont il est rédacteur en chef.
Passionné par l’histoire régionale, il écrit en 1996 Les faiseurs de musiques, histoire de la boîte à musique à Sainte-Croix, ainsi que plusieurs études d’histoire locale. Somptueuses turbulences raconte la suite du Rêve d’Edouard soit l’histoire du Grand Hôtel des Rasses de 1939 jusqu’en 2014.
jcl.piguet@bluewin.ch

Les faiseurs de musique, histoire de la boîte à musique à Sainte-Croix, avril 1996
L’atelier du Dr Wyss, le génie technique et musical de la fabrication de la boîte à musique, en collaboration avec Jürg Wyss et Marc Hösli, avril 2011
D’ardoise et de craie, l’école d’autrefois dans la région de Sainte-Croix, en collaboration avec Bernard Simon et Michel Bühler, octobre 2011
L’album Thorens, la vie en usine au début du XXI siècle, en collaboration avec Jürg Wyss, août 2012
Le rêve d’Edouard, chronique du Grand Hôtel, du tourisme et de la vie quotidienne dans la région de Sainte-Croix et Bullet, juillet 2013
Somptueuses turbulences, chronique du Grand Hôtel, du tourisme et de la vie quotidienne dans la région de Sainte-Croix et Bullet, décembre 2014
Musée Baud, au royaume de la musique mécanique, photographies de Florence Cavin, octobre 2018.

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Pascal Broulis

Conseiller communal à vingt ans, Pascal Broulis est élu au gouvernement vaudois en 2002 et prend la tête du Département des finances et des relations extérieures. Réélu trois fois, premier président du canton en 2007, il a toujours eu le souci de vulgariser la chose publique et d’y intéresser les jeunes. En 2006, avec Le petit Broulis illustré il livre l’abécédaire de sa philosophie politique. En 2011, ce collectionneur passionné de petites histoires concrètes et significatives les utilise pour raconter la fiscalité dans L’impôt heureux. Il récidive ici pour aborder le pouvoir. Dans le même esprit ; accessible, enjoué et citoyen. Il quitte le Conseil d’Etat vaudois le 30 juin 2022.

Fragile pouvoir, novembre 2016